Regarde dans les rues il n’y a plus personne

Par Amonite

Regarde dans les rues il n’y a plus personne
Que ce soit à Paris, New York ou Barcelone
Plus de bruit de moteurs, de gens ou de klaxons
Que les voix des oiseaux alentour qui résonnent.

Plus d’avions dans le ciel ou de bateaux en mer,
Les oiseaux, les poissons goûtent à la liberté
D’aller où bon leur semble, à l’endroit, à l’envers
Sans un humain pour les chasser;

Une pause bienvenue pour la nature entière
Pour tout ce qui y vit, et pour l’homme qui, hier
Vivait en harmonie, sans armes et sans frontières
Jusqu’à ce qu’il oublie qu’il dépend de la terre!

Je n’ai pas de croyance en un dieu ou idole
Mais je prie tout de même les Sirènes, Gaïa,
Les Ondines, les Tritons, et la Pachamama
Qu’ils protègent la terre et toutes les bestioles

Je sais que les humains n’ont aucune parole,
Mais quand ils sortiront de leur confinement
Qu’ils prennent soin de leur environnement
Car la terre n’est pas une simple babiole.

4 commentaires sur “Regarde dans les rues il n’y a plus personne”

    1. Merci beaucoup, Paul, mais je viens de voir que j’ai écrit “à goûtent la liberté”, au lieu de “goûtent à la liberté”, dommage, ça casse la lecture… Pourtant, je me suis relue, comme quoi!
      A vous maintenant, un petit texte.

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